Si je me souviens bien, nous avons appris lors du module 1 qu'une suite de 1 et de 0 ne représente rien si nous n'avons pas de convention pour l'interpréter (par exemple entiers signés ou non-signés).
Cependant, je remarque dans l'examen de 2016 partie théorie qu'il n'est souvent pas précisé dans la consigne quelle convention nous utilisons, que faire dans ce cas ?
A quel endroit (quelle question) estimez vous que ce n'est pas précisé ?
Bonjour,
Je me permets de répondre car j'ai eu la même interrogation (mais seulement pour un exercice). Dans l'examen de 2016, dans la partie exercices, l'exercice numéro 1 "Inverse du compilateur". Il est demandé de donner la sortie du programme en fonction de la valeur de deux variables r1, r2 sous forme binaire. La convention n'est pas expliquée, mais découle-t-elle de la donnée ? Typiquement, dans le programme, on soustrait un nombre à l'autre, dans ce cas, faut-il transformer le nombre en son inverse et les additionner ? Est-ce que cela signifie que l'on travaille avec des entiers signés ? Comment doit-on interpréter ces nombres et effectuer la soustraction ?
Meilleures salutations.
question 13 2016 : est-ce que ça change qqchose ?
-> non vu que les 2 nombres sont positifs (quelque soit la convention) et que le second est plus petit que le premier : quelque soit la convention vous aurez la même réponse.
Encore une fois : le but de la convention en complément à 2 est JUSTEMENT de faire les opérations de la MẼME façon qu'avec les nombres non signé. La seule chose qui change est l'interprétation décimale du résultat, pas les opérations.
Puisque l'on parle de signaux, faut-il considérer les nombres binaires comme des entiers signés ?
exercice 1 2016 : voir ci-dessus
exercice 1 2017 : on ne parle de binaire que dans la partie RSA (ce qui n'a rien à voir avec les signaux). Or dans RSA on travaille avec des nombres... positifs ! (modulo n)
si vous l'avez : les adresses d'une mémoire n'ont jamais été négatives.